Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 11:06

Nous avions initialement prévu de partir vendredi soir après notre journée de travail. Puis, nous avons finalement décidé de prendre une journée de congé et de partir tranquillement le vendredi matin.

 

Comme à notre habitude, nous n’en fîmes rien et sommes partis dès jeudi soir sur un coup de tête !

A l’aventure, certes, mais en ayant tout de même pensé à réserver une chambre d’hôtel à Tours, ville qui se trouvait au milieu de notre trajet et que nous n’avions ni l’un ni l’autre encore eu l’occasion de visiter.

 

Imprévus égal frais supplémentaires. Nous avons donc opté pour une chambre dans un hôtel Formule 1. Nous aurons tout le temps d’apprécier le confort d’un bel hôtel lorsque nous serons arrivés dans la région de Poitiers.

 

Je prépare mes affaires à la hâte ! Sans oublier bien sûr, quelques jouets coquins, une bouteille de champagne et la fameuse enveloppe contenant les gages. Persuadés d’avoir oublié la majeure partie des choses indispensables mais tellement excités par ce départ improvisé, nous prenons la route vers 22 heures.

L’ambiance est électrique dans la voiture. Rien de tel pour mettre du piment dans ce week-end !

Deux heures et demie de route plus tard, nous arrivons enfin au formule 1. La dernière partie du trajet fut, je l’avoue un peu laborieuse pour ma part…La fatigue de la semaine de travail accumulée à celle de la conduite, j’ai eu bien du mal à nous amener à bon port !

Enfin arrivés, je n’ai qu’une envie : Aller me coucher et me blottir dans les bras de Mick. Malheureusement, n’ayant pas fait de pré-règlement, nous devons nous contenter d’une chambre avec deux lits simples…

 

Nous ne faisons pas trop les difficiles, il est quasiment une heure du matin. Nous montons dans la chambre.

 

Mick se glisse très vite dans les draps. Je prends de mon côté, le temps de fumer une cigarette. Mais lorsque je m’approche du lit où il s’est allongé, celui-ci me dit que ce n’est pas possible, qu’il faut qu’on dorme chacun dans notre lit ! Sur le coup, je suis très vexée, ne comprenant pas tout de suite qu’il me fait bien évidemment marcher…

 

Après de nombreux arguments de ma part pour qu’il « m’accepte » dans son lit et un éclat de rire général, nous nous serrons dans un seul lit. Je m’endors presque aussitôt, comme prévu dans les bras de mon homme. Mais plus tard dans la nuit, je changerai de lit. La chaleur et la promiscuité de ce petit lit auront raison de moi. La folle nuit d’amour sera pour le lendemain !

La nuit se déroule alors paisiblement, chacun de notre côté…dans un confort sommaire mais suffisant.

 

Réveil vers 9 heures. Là, le moment est délicat. Ne pas se réveiller dans le même lit…Sensation vraiment étrange, d’autant plus que Mick ne s’était pas aperçu de mon échappée au milieu de la nuit… Cependant, je le rejoins très vite pour un gros câlin.

 

Nous n’avions pas commandé les petits-déjeuners à l’hôtel. Voulant profiter des quelques rayons de soleil, nous sommes partis en direction du centre-ville, bien décidés à prendre notre petit-déjeuner en terrasse.

Après quelques tours et détours, nous trouvons enfin un café avec une terrasse au soleil. Au menu, chocolat chaud, viennoiseries, toasts, confiture…Un vrai régal.

Bien repus, nous faisons un petit tour dans la ville, empruntons les rues piétonnes.

 

Mais le soleil reste tout de même timide et le vent est frais. Vers midi, nous décidons donc de reprendre la voiture afin de rejoindre Gençay, petit village où se situe notre hôtel.

 

La route est dégagée. Peu de voitures en ce vendredi midi. La fin du trajet se fait donc rapidement et nous arrivons à l’hôtel vers 14 heures. Le soleil est de nouveau au rendez-vous !  
                                                         

                                                          

Nous sommes gentiment accueillis par une jeune femme qui s’étonne de nous voir si tôt car nous avions prévenus de notre arrivée vers 22 heures (rappelons que nous étions censés partir le vendredi soir après le travail…). Nous lui expliquons donc que nous avons avancé notre départ.

 

Elle nous conduit à la chambre par un escalier extérieur. Nous sommes au deuxième étage. Elle nous présente rapidement les lieux et nous laisse seuls. La chambre est simple. Juste ce qu’il nous faut. Il y a un minibar. Nous en profitons d’ailleurs de suite pour y mettre la bouteille de champagne afin qu’elle soit au frais. La salle de bains est assez grande avec une baignoire. Les toilettes sont séparées. Un lit deux places est au milieu de la pièce et un petit lit est collé contre la fenêtre. En dessous, un « tiroir-matelas » pouvant accueillir une quatrième personne. 

                                                     


 
Nous nous situons vers le bout du couloir mais avons tout de même des voisins de chaque côté. Pour le moment, les deux chambres semblent inoccupées mais cela ne durera pas. Nous en rions car, de nature assez bruyante, nous avons, quelques fois, laissés des souvenirs dans les mémoires de certains de nos voisins…

 

Je m’allonge sur le lit, paré d’un dessus de lit à fleurs mémorable (!). Le matelas est assez dur… Evidemment mes sens sont en éveil. D’autant plus que Mick, comme à son habitude se met rapidement à l’aise et se retrouve nu comme un ver. La frustration d’hier soir remonte aussitôt. Je l’invite donc à venir s’allonger à côté de moi.

 

Nous nous enlaçons et très vite, il offre un traitement de faveur à ma poitrine. De délicats mouvements de langue sur mes tétons ne mettent pas longtemps à faire grimper en moi l’excitation. Avant Mick, la poitrine n’était pas une zone érogène pour moi. Aucune sensation particulière lorsque un homme me touchait ou me léchait les seins. Avec lui, c’est différent. J’ai découvert un nouveau plaisir. Et ne me lasse pas de le voir au-dessus de moi, la tête dans mes seins.

 

Petit à petit, je me sens m’abandonner et décide de donner, à mon tour, du plaisir à Mick. Je prends donc le contrôle de la situation et lui grimpe dessus. Quelques secondes plus tard, me voilà à quatre pattes au-dessus de lui, son sexe dans ma bouche… Vient alors une « jolie fellation » (dixit Mick).

Je me caresse rarement en même temps. Ayant un peu de mal à me concentrer sur le fait de lui faire du bien et de m’en faire en même temps. Mais cette fois-ci, je suis tellement excitée que malgré moi, ma main se glisse subrepticement vers mon clitoris. C’est chaud. C’est humide. Cela m’excite et Mick le ressent. Et se redresse.

 

Il m’allonge sur le dos et me relève les jambes au niveau de ses épaules pour une pénétration en profondeur… Je me laisse aller à mon plaisir…Ne me doutant pas que la fenêtre de la chambre était restée ouverte et qu’à plusieurs reprises, des gens sont passés devant la chambre. Nos voisins ? Nos hôteliers ? Nous ne le saurons jamais, et c’est peut-être mieux ainsi…

Quoi qu’il en soit, nous prenons tous deux un grand plaisir. Et lorsque Mick arrive à l’orgasme, il se retire afin d’éjaculer sur mon corps étendu.

 

Sans me rendre compte de mes gestes, j’étale son sperme sur mon corps, me lèche les doigts. J’adore lorsqu’il fait ça car c’est pour moi le moyen de pouvoir le sentir vraiment éjaculer. Lorsqu’il est en moi, je le sens par les réactions de son corps mais en moi, je ne sens pas son sperme jaillir.

 

Nous nous regardons en souriant, comme bien souvent après l’amour et c’est à ce moment-là que Mick me dit que nous avons eu de la visite sur le palier. Cela m’amuse !

J’en ai partout et rien pour m’essuyer…Quoi que, le magnifique dessus de lit de mamie fera l’affaire !

Je ne suis pas très fière de moi mais comme je l’ai fait remarquer à mon homme en rigolant : A peine arrivés, nous avons marqués notre territoire…

 

Toutes ces émotions nous ont ouvert l’appétit. D’autant plus qu’il est quasiment 15 heures et qu’à part le petit-déjeuner du matin, nous n’avions rien mangé d’autre. Le soleil est de nouveau au rendez-vous donc nous partons à pied vers le centre-ville.

 

Celui-ci se résume avec un bar-tabac (ouvert mais qui ne sert pas à manger), un petit restaurant (qui a terminé son service), quelques boutiques (quasiment toutes fermées)…

Heureusement, nous avions, au cas où, pris un paquet de chips.

Cela ressemble plus à un village. Ça a son charme. Nous avons fait plusieurs fois le tour de la place, lorsque j’aperçois un panneau indiquant un château.

 

                                                

 

Nous allons donc jusqu’au fameux château de Gençay. Pour y accéder, nous traversons un pont en bois qui craquait à chacun de nos pas. Une grille ferme l’entrée des ruines. En fait, il ne reste que l’enceinte. Le centre étant essentiellement composé d’herbes.

C’est alors que nous sortons l’appareil photo. Devant la grille, de jolies niches pour de jolies prises de vue. Bien sûr, nous restons sages et dans des poses très traditionnelles mais l’un comme l’autre, imaginons aisément revenir dans la soirée afin de faire de délicieuses photos coquines…

 

Trois touristes arrivent alors devant la grille. Ils ont fait appel à un employé de l’office du tourisme afin de pouvoir ouvrir la grille et ainsi pénétrer dans l’enceinte du château. Nous profitons donc de l’occasion pour y entrer également. Là encore, nos esprits vagabondent et imaginent nos corps presque nus, dans ce décor médiéval…A cet instant précis, je regrette vraiment que ces touristes soient là car j’aurai adoré que Mick me prenne debout, adossée sur ces grosses pierres…

 

La visite terminée, nous trouvons un banc, à l’ombre et nous asseyons un moment. Nous avons dévoré le paquet de chips mais mon estomac réclame encore quelques victuailles…Je m’allonge, ma tête posée sur les genoux de mon tendre et apprécie le moment présent. Il fait beau, nous entendons des enfants jouer dans la cour de récréation tout près. Nous discutons, nous délirons, nous rions !

 

Au bout d’un long moment, nous reprenons la direction du « centre-ville » et nous asseyons à la terrasse du bar-tabac pour y déguster deux Monaco. Seulement, le temps se gâte petit à petit et nous décidons de rentrer à l’hôtel.

 

A peine avons-nous ouvert la porte de la chambre, qu’il se met à pleuvoir… Il était moins une !

Pour le dîner du soir, nous n’avons pas besoin de chercher de restaurant car à notre arrivée, nous avons réservé une table au restaurant de l’hôtel. Il est aux environs de 18 heures et le service débute à 19h30.

 

Nous nous allongeons alors devant la télé et je ne tarde pas à m’endormir dans les bras de Mick….pour me réveiller une heure plus tard, juste pour descendre dîner.

 

Il pleut toujours. Une pluie fine. Sur le parking de l’hôtel, une magnifique Ferrari rouge. Un modèle récent. A quelques kilomètres, dans le village où nous devons sauter à l’élastique, était organisée ce week-end là une course de voitures de légende. Du coup, pendant tout le week-end, nous n’avons cessé de croiser des Ferrari, Lamborghini, Lotus et autres Maserati…Un régal pour les yeux mais également pour les oreilles.

 

La salle de restaurant est très joliment décorée. Des couleurs chaudes, une hauteur de plafond impressionnante. Simple mais rustique et authentique à la fois. Un menu entrée-plat-dessert attire notre attention. A chaque fois, deux plats sont proposés. Nous décidons donc de prendre chacun un plat différent afin de goûter à tout.

 

                                                          

 

Nous prenons un apéritif mais pas de vin. La nourriture n’est pas exceptionnelle mais tout à fait correcte. Joliment présentée. Le repas se déroule calmement, ponctué par les sourires éclatants de la maîtresse de maison.

La salle est comble. L’ambiance est très familiale. Une fois le repas terminé, nous demandons à ce que le petit-déjeuner du lendemain matin nous soit servi dans la chambre.

 

La pluie a cessé mais tout est trempé dehors et la température a drôlement chuté. Nous décidons alors d’abandonner notre idée de séance photo nocturne…Nous aurons d’autres occasions et ce n’est pas le moment de tomber malades. Nous devons être en pleine forme pour le grand frisson du lendemain.

 

De retour dans la chambre, nous prenons chacun une douche et nous mettons, nus, au lit. Très vite, nos corps se rapprochent, nos jambes se chevauchent, nos langues s’emmêlent…

Très vite, je me retrouve en amazone sur Mick. La pénétration se fait en douceur. Mes mouvements sont lents mais profonds...Je frissonne à chaque mouvement de bassin mais me retiens afin de ne pas alerter de voisins de chambrée.

Puis d’un coup, Mick se lève et se dirige droit sur ma valise. Une sorte de bestialité se dégage alors de lui. Il cherche frénétiquement quelque chose. Lorsqu’il revient vers moi, c’est avec un gode à la main.

 

Il me met à quatre pattes et me pénètre en levrette. D’abord sans le gode. Puis je le sens enfoncer petit à petit le gode en même temps que son sexe. Ses mouvements deviennent rapides. Je ne peux réprimer quelques cris et les draps sont réduits en charpie tellement je les serre dans mes poings.

Il m’attrape par le cou, de sorte à ce que je sois obligée de me cambrer au maximum mais aussi pour que je le regarde. Je sens son sexe et le gode, tous deux dans mon vagin faire des allers-retours.

Le plaisir me submerge et pour qu’il soit total, je libère une de mes mains afin d’aller me caresser vigoureusement le clitoris.

L’orgasme est proche pour tous les deux et cette-fois, c’est sur mon dos et mes fesses que je sens la chaleur de son sperme. Encore une fois, je ne peux m’empêcher d’aller y mettre ma main et de l’étaler sur mon ventre, ma poitrine...

 

Après une rapide et seconde douche, nous nous mettons au lit, cette fois pour dormir. Le réveil est activé pour 9 heures le lendemain. Nous devons bien dormir pour mettre tous les atouts de notre côté afin d’affronter au mieux cette longue journée qui nous attend.

Voir les 0 commentaires - Par Mi-Loo - Publié dans : Notre vie libertine
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